Sunday, November 4, 2012

Changement de mot de passe Facebook

Bonjour Stéphane,

Vous avez récemment changé votre mot de passe Facebook : 4 novembre 2012, à 19:30.
Par mesure de précaution, cette notification a été envoyée à toutes les adresses électroniques associées à votre compte.

Si vous n'avez pas changé pas votre mot de passe, votre compte pourrait être la victime d'un hameçonnage.
Veuillez suivre le lien pour reprendre le contrôle de votre compte :
https://www.facebook.com/hacked/disavow?u=100001467723906&n=56UKnjq5

Votre mot de passe a été changé depuis le lieu suivant :
Montreal, QC, CA (IP=184.144.162.157)

Merci,
L'équipe Facebook

Une activité suspecte a été détectée au niveau de votre compte

facebook
Bonjour Stéphane,
Il semble que quelqu'un d'autre ait pu accéder à votre compte Facebook et nous présentons une barrière supplémentaire afin de mieux le protéger Votre compte est également masqué (temporairement) et n'est plus visible sur le site.
Pour recouvrer votre compte, veuillez vous connecter à Facebook et suivre les instructions fournies.
Merci.
L'équipe Sécurité Facebook
Ce message a été envoyé à groupehumanitairemontreal@hotmail.com sur votre demande.
Facebook, Inc., Attention: Department 415, PO Box 10005, Palo Alto, CA 94303

Thursday, November 1, 2012

Changement de mot de passe Facebook

Bonjour Stéphane,

Vous avez récemment changé votre mot de passe Facebook : 1 novembre 2012, à 17:40.
Par mesure de précaution, cette notification a été envoyée à toutes les adresses électroniques associées à votre compte.

Si vous n'avez pas changé pas votre mot de passe, votre compte pourrait être la victime d'un hameçonnage.
Veuillez suivre le lien pour reprendre le contrôle de votre compte :
https://www.facebook.com/hacked/disavow?u=100001467723906&n=jtmQLTXB

Votre mot de passe a été changé depuis le lieu suivant :
Westmount, QC, CA (IP=64.18.79.4)

Merci,
L'équipe Facebook

Wednesday, August 29, 2012

POUR RÉPONDRE AU CONTENTIEUX D'AVOCAT ET ME CAMPEAU & PAR SOUCI DE TRANSPARENCE.


On NE communique jamais avec un témoin. Nous avons fait part au client et des mesures seront prises.

Sans préjudice

Bonsoir Me Campeau,

A vrai dire votre client, je m’en balance complètement et de façon assidue d’ailleurs. Je ne retirai rien d’ailleurs sur aucun de mes blogs puisque tous les documents sont en libre circulation et à la lecture rapide vous serez à même de constater toute la légalité du document.  

Si je comprends bien, votre petite lettre en copie conforme de bien mauvaise ‘’forme ‘’ car vous avez oublié le (Sans préjudice) en début de lettre, et le (En toute bonne foi) à la fin de celle-ci, étiez-vous pressé, ou sur le mode panique au point de me manquer de respect ? À vous de choisir l’étape de ce travail mal fait, comme bon vous semble, D’ailleurs semble-t-il dans ce dossier que votre attention y soit porter de la même façon.  Vous serez à même de constater à la lecture de ce dit document que je suis nommé témoin officiel, alors vous connaissez bien les lois (criminel) concernant la protection des témoins et leur sollicitation hors tribunal, demandez a (Me Villeneuve lui il s’en rappel) , je me ferai une joie de vous le rappeler devant le juge, je suis tout joie à la façon dont vous tenter de me ‘’convaincre’’ de collaborer, serait-ce une vague tentative d’intimidation ? Vous n’iriez pas jusque –là, risquer les foudres de la juge en chef et ceux de votre ordre professionnel (Bareau) dans ce dossier, est-ce que je me trompe?

Pour vous rappeler, que ledit document rencontre tous les normes  de divulgation, dans le Code Civil, Criminel etc…alors que votre lettre qui m’apparait bâclée semble tourné autour du fait de la liberté d’expression dont la constitution garantie sont dévoilement,  mais dans un forme précise, qui j’ajoute est respecté dans son intégralité. Alors pour la collaboration avec un témoin, je pourrais difficilement faire pire que votre préhension.

Nous sommes dans l’obligation de retourner votre ‘’torchon’’ afin que vous appreniez à écrire dans une forme dont aucun procureur ne pourrait faire fit et surtout pas dans ce dossier-ci et de vous conformez a une façon faire plus noble. Nous sommes vraiment désolés de ne pas accéder à votre demande, mais nous satisferons aux exigences de la loi concernant les témoins et la pratique des procureurs à leur endroit et dès l'accord du client une plainte au criminel sera déposé pour harcèlement et intimidation, en fonction de l’entente confidentiel avec la déontologie policière dont je bénéficie, ainsi qu’une lettre adressé à la juge en chef du Québec, afin qu’elle supervise ce dossier vue sa complexité.

En toute bonne foi

Veuillez agréer mes sentiments les plus distingués
Stéphane Marceau Dir. Groupe Humanitaire Montréal




Wednesday, August 15, 2012

Requête pour traite humaine envers le csss Laurentides






CANADA                                                             COUR DU QUÉBEC                                                                                                            
PROVINCE DE QUÉBEC                                       (Chambre Jeunesse)                                                                                
DISTRICT DE TERREBONNE
LOCALITÉ DE : SAINT-JÉRÔME
No : xxx-xxxx-xxxx-xx

DANS L’AFFAIRE DE L’ENFANT :

Enfant X (née le 10 octobre1998)
Enfant

Monsieur X
XXX rue XXXX
XXXX, Québec
PÈRE REQUÉRANT
-et-
Madame X
XXXX rue XXXXX
Mirabel, Québec
XXX XXX
Mère de l’enfant
INTIMÉE
-et-
Monsieur Denis Baraby              
 Directeur de la DPJ des Laurentides
500 rue Laviolette
Saint-Jérôme, Québec
INTIMÉE
-et
Madame Julie Lavoie                                                                                                                           
 Représentante du DPJ Laurentides
333 rue Antonin-Campeau
Bureau 101
Deux-Montagnes (Québec)
J7R 0A2
INTIMÉE
- MISE EN CAUSE-
La Commission des Droits de la Personne Et des Droits de la Personnes (CDPDJ)
360 rue Saint-Jacques
2 ième étage
Montréal (QC)
H2Y 1P5





REQUÈTE EN MODIFICATION D’UNE ORDONNANCE RENDU 12 SEPTEMBRE 2011 (art. 96 Loi sur la protection de la jeunesse)

1. Malheureusement pour l’enfant, et toute sa famille, les points (1), (7), (8), (9), (10 a. b.), (12), (13), (15) et (24, 24.1) de la CHARTE CANADIENNE DES DROITS DE LIBERTÉS ainsi que article 54.1 du Code de Procédure Civile du Québec..(..de l'utilisation de la procédure de manière excessive ou déraisonnable ou de manière à nuire à autrui ou encore du détournement des fins de la justice, notamment si cela a pour effet de limiter la liberté d'expression d'autrui dans le contexte de débats publics…) (SIC) n’ont pas été respecté par le Directeur de la Protection de la Jeunesse Denis Baraby (DPJ) et ces mandataires, on note sans limitation que :

2. Que depuis ce jugement, le requérant tente de prendre contact avec le DPJ, afin de mettre en place des modalités de contact père-enfant en conformité avec le jugement rendu le 12 septembre 2011  

3. Le requérant a bénéficié d’un rapport d’expertise psychiatrique préparé par Dr. Pierre Mailloux psychiatre expert; sous cote R-2 ;
                       I.        D’où on peut lire, après vérification de l’expert lui-même, M. René Veilleitte travailleur social dans son rapport du 7 mars 2012 se fait le PERROQUET de cette conclusion dans son expertise-psychosociale …(SIC) ;
                     II.        De plus l’expert psychiatre Dr Pierre Mailloux écrits textuellement : …sur requête en protection de l’Honorable Paul Grégoire du 12 septembre 2011, une narration de la problématique sexuelle d’un homme qui vit présentement auprès de X âgée de 13 ans, et sur qui cet homme s’est livré à des attouchements sexuels et aurait même, en l’absence d’une dynamique sexuelle déviante>>,participé à 15 rencontres au sujet de cette problématique. Inquiétant cette histoire!!!(SIC) (surlignage et gros caractère par auteur de la requête) ;
                    III.        L’expert note après plusieurs rencontres et vérifications diverses que :Monsieur X, est un individu qui se retrouve seul contre un système bien organisé ressemble d’avantage à un diable qui se débat dans l’eau bénite, qu’a un malade mentale ;
                  IV.        Le psychiatre expert mentionne qu’aucune dangerosité noté chez cet individu, que ce soit pour lui-même ou envers les autres ;
                   V.        L’expert du requérant au dossier fait une remarque  pour le moins inquiétante sans être un expert en droit et passé sous silence par le procureur du DPJ Me Ninon Lacasse et les mandataires du DPJ : …Considère essentiel de bien écouter le jugement rendu par Mme la juge La Rochelle pour soupçonner des éléments fort particulier dans ce dossier-ci…(SIC) ;
                   VI.        Le psychiatre Dr. Mailloux note : Que la psychiatrie demeure occasionnellement utilisée pour des fins fort efficaces de discrédit (SIC) ;
                  VII.        Il note d’autant plus : ...Il serait souhaitable que les intervenants dans le dossier de M. X lui témoignent plus de respect et de compréhension dans sa détresse, dont une bonne partie pourrait s’avérer fort légitime…(SIC) ;
                VIII.        L’expert exprime clairement que : L’abus sexuel perpétré sur l'enfant X a été fort probablement banalisé, ce qui est d’autant plus troublant pour M. X le soussigné. (SIC) ;
                   IX.        Le psychiatre cite que le père : …Ne présente actuellement aucun trouble psychologique, maladie mentale ou dangerosité quelconque qui puisse inférer avec son rôle de père. (Sic)

4. Le requérant prend effet d’une possible collusion entre partie, avec son avocat et le Procureur du DPJ et les mandataires de la protection de la Jeunesse de Saint-Jérôme, il récuse son avocat pour motif de collusion avec les autres parties et surtout les complices (avocats), qui n’avaient d’autre buts que privé l’enfant de son père, dans un effort commun d’allégations concerté et non fondés ajouté a des oui dire, voir vexatoire (de laisse croire) à un possible abus de la part du requérant ;

 5. Le requérant ne bénéficie et n’a droit à aucun contact significatif avec son enfants, toujours au détriment de l’intérêt supérieur de l’enfant X. Le D.P.J. Denis Baraby et ces mandataires n’ayant que mépris pour ce noble tribunal et ces ordonnances ;

 6. Dans un même ordre d’idée de mépris le plus total de ce noble tribunal. On note le dépôt en preuve quasi-frauduleuse par le procureur du contentieux des Centre Jeunesse de Saint-Jérôme, en déposant avec mépris envers les Honorables Juges de ce tribunal des documents les sachant faux et/ou trompeurs et/ou exagérés ;

 7. Pour ajouter à l’odieux, et au mépris le plus total de ce tribunal et des Honorables Juges de cette cause ;
                      I.        Le requérant prend effet d’un rapport sexologique accablant à l’endroit de celui qui partage la vie de sa fille. Dont il agit en père responsable prouvant sa valeur parental en portant plainte contre ce présumé pédophile

                   II.        C’est en prenant connaissance du document ci-haut mentionné, pour la première fois que le requérant constate de grave lacune qui seront tous passé sous silence devant ce tribunal et ce, au détriment de l’enfant X, tel qu’il appert au soutien des présentes sous la cote R-2 ;
                    III.        C’est ainsi que votre requérant découvre avec stupéfaction et horreur, que son propre enfant est victime d’une machination bien rôdée et d’une quasi-traite humaine de la part des complices avocats et de la Direction de la protection de la Jeunesse de Saint-Jérôme ;

 8. Ce constat est pourtant passé sous silence et c’est contre le père requérant le 12 septembre 2011 que le Directeur de la Protection de la Jeunesse Denis Baraby de Saint-Jérôme, prend unidirectionnellement contre le requérant en présentant une requête farfelu et vexatoire, avec sans fondement, avec possibilité, de laisser croire a de possible abus par le père a l’endroit de sa propre fille X et de son ex-conjointe sous cote R-3 ;

 9.    Dans les circonstances et en conséquences, force est de constater que l’objectif du D.P.J. et ces complices avocats surtout, étaient de privé l’enfant de son père par tous les moyens en dupant outrageusement cet HONORABLE COUR, à l’aide d’un dossier faux, trompeurs, exagérés et incendiaires, en conformité avec le terrible constat de l’Honorable sénateur Anne C. Cools qui réclamait un maigre (2) ans  de prison pour leur avocats complices du D.p.j. dans le cadre du projet de loi S-9 (loi modifiant le code criminel – Détournement de justice – 17 février 2000) Sous pièce R-4 ;

10.  En conformité avec le témoin Monsieur Stéphane Marceau directeur du Groupe Humanitaire Montréal, d’où il explique tous les ramifications entre procureurs dans ces moindres détails et la façon d’agir et la collusion dans ce dossier et dans les autres qui lui sont soumis. Dans une déclaration assermentée très explicative d’un cas similaire ou certain avocats ont été récusés et porté à l’attention de leur ordre professionnel dont certains œuvre à ce dossier même, avec le même modus operendi sous cote R-5 ; 

11.  Dans un même ordre d’idée, on note que depuis cette superbe allocution les juges du Québec sont de plus en plus nombreux à maitriser le problème, en conformité avec encore la superbe allocution de l’HONORABLE SÉNATEUR ANNE C. COOLS, le tout tel qu’il appert de la liste de jugement blâmant sévèrement la D.p.j. et ces complices, des avocats surtout sous pièce R-6 ; 

12.  Avec tous les points soulevés, ainsi que la preuve à être présenté, le tribunal n’aura d’autre choix que de conclure que le D.p.j. et ces complices, les avocats surtout, ont faient fi des droit et libertés les plus élémentaires de l’enfant XXXX ainsi que des ordonnance de la cour ainsi que ces prescriptions ;  

13.  Le requérant n’a que des contacts dégradant et non significatif avec son enfant supervisé par la D.p.j. ; 

14.  Il n’est pas de l’intérêt de l’enfant d’être privé de l’affection de son père qui s’en est toujours occupé sainement jusqu’au jour où le D.P.J. Denis Baraby s’est immiscé dans la vie de l’enfant XXXX ; 

15. La requête est bien fondée en faits et en droits.


PAR CES MOTIFS PLAISE AU TRIBUNAL


ACCUEILLIR   la présente requête ;


RÉVISER   l’ordonnance rendue le 12 septembre 2011 ;


CONFIER   l’enfant X à son père requérant la garde complète de l’enfant X ;


DÉCLARER   les droits lésés de l’enfant X ;


DÉCLARER   les droits du père-requérant lésés ;


DÉCLARER   les droits de la mère lésés ;


ORDONNER   que les subpoena produit pour cette cause et les documents demandés soient déposés, et respectés sous réserve d’outrage au tribunal ;


ORDONNER   au Bareau du Québec de faire enquête sur les agissements frauduleux des avocats ;


ORDONNER   la signification personnelle, sous enveloppe scellée, du jugement au Directeur de la Protection de la Jeunesse du Centre Jeunesse de Saint-Jérôme Denis Baraby (D.p.j.) de même qu’à Monsieur Gaétan Cousineau président de la Commission des Droits de la Personne et des Droits de la Jeunesse (CDPDJ) ;



ORDONNER   à la Commission des Droits de la Personne et des Droits de la Jeunesse (CDPDJ), de procéder à une enquête systémique relativement au non-respect des ordonnances judiciaires de protection et au non-respect des procédures juridiques, dont l’exécution est confié au Directeur de la protection de la jeunesse de la région de Saint-Jérôme ;


ORDONNER   au substitut du Procureur Général-adjoint d’analyser le présent jugement particulièrement sous l’angle de l’article 134 de la Loi sur la protection de la jeunesse ;


ORDONNER  à tous corps policiers de collaborées à l’exécution de l’ordonnance qui sera rendu ;



Signé à Saint-Jérôme le  le 14 aout 2012

Friday, March 30, 2012

Comme société, que puis-je espérer...





Au niveau de l'éducation, pourquoi pas la gratuité pleine entière. Une société qui ne peu s'offrir des gens instruits, des techniciens et des intellectuels, est à mon avis une société en déclin. Faut en fait, sortir du folklore et bien se rendre compte, qu'un étudiant n'est pas une perte d'argent, il est au contraire un investissement, du point de vue fiscal, en payant des taxes et impôt à la suite de sa formation en travaillant! Mais aussi, il est moteur social important et un créateur de richesse et ce, à tous les niveau. 

On a pas besoin d'analyse tiré a quatre épingles, mais d'un consensus social en ce qui attrait a plusieurs sphères de notre société québécoise. Tant au niveau de la pauvreté, de la culture, de l'éducation, de l'ensemble des richesses minières et humaines que possède ce si beau pays dans lequel, parfois je me sens étranger.

Quand mon regard ce pose, sur tout ces édifices, sombres et grises monotones, vestige caduc d'un manque de clairvoyance technologique évidente et que j'entends des discours complaisants sur une possible baisse des gaz à effet de serres et l'effort a y mettre. La question qui me vient à l'esprit chaque fois est: Sommes nous tous a un point déconnecté de la réalité pour pas voir, ou nous refusons bien simplement de voir. Tout cette énergie qui provient du soleil, qui pourrait être capté et redistribuer sur les façades de nos grattes-ciels, l.orientation défaillante de ces édifices, et l'urbanité totalement a contrario des besoins humains réels de déplacements. Nous ne manquons pas de terre et d'espace pour cultiver, mais manquons littéralement d'imagination et de cran pour passer à l'acte. Imaginé tout ces édifices avec des toits cultivés ainsi que leur façades et ces coins de villes interdits aux autos et transformés en verdureÉconomiquement c'est tout à fait viable et rentable. Humainement, l'apport de cette richesse est incommensurable en bienfait. On a qu'a réfléchir sur la possibilité de nourrir nos gens a moindre coût avec des produits de qualités. À quand les piscicultures à Montréal ? la demande et l'offre y sont pourtant, pour des produit frais et de qualité qui servirait tant la communauté que l'économie. 

À mon humble avis, il faut un courage des citoyens, mais aussi un courage politique de nos ''élues'' et des créateurs divers. Il est urgent que les choses changent, tant à l'échelon personnel, que nos structures de gouvernances et que l'humain et la vie soit au coeur, au centre de tout ces changements et décisions a prendre.  

Stéphane Marceau, humanitaire