Friday, March 30, 2012

Comme société, que puis-je espérer...





Au niveau de l'éducation, pourquoi pas la gratuité pleine entière. Une société qui ne peu s'offrir des gens instruits, des techniciens et des intellectuels, est à mon avis une société en déclin. Faut en fait, sortir du folklore et bien se rendre compte, qu'un étudiant n'est pas une perte d'argent, il est au contraire un investissement, du point de vue fiscal, en payant des taxes et impôt à la suite de sa formation en travaillant! Mais aussi, il est moteur social important et un créateur de richesse et ce, à tous les niveau. 

On a pas besoin d'analyse tiré a quatre épingles, mais d'un consensus social en ce qui attrait a plusieurs sphères de notre société québécoise. Tant au niveau de la pauvreté, de la culture, de l'éducation, de l'ensemble des richesses minières et humaines que possède ce si beau pays dans lequel, parfois je me sens étranger.

Quand mon regard ce pose, sur tout ces édifices, sombres et grises monotones, vestige caduc d'un manque de clairvoyance technologique évidente et que j'entends des discours complaisants sur une possible baisse des gaz à effet de serres et l'effort a y mettre. La question qui me vient à l'esprit chaque fois est: Sommes nous tous a un point déconnecté de la réalité pour pas voir, ou nous refusons bien simplement de voir. Tout cette énergie qui provient du soleil, qui pourrait être capté et redistribuer sur les façades de nos grattes-ciels, l.orientation défaillante de ces édifices, et l'urbanité totalement a contrario des besoins humains réels de déplacements. Nous ne manquons pas de terre et d'espace pour cultiver, mais manquons littéralement d'imagination et de cran pour passer à l'acte. Imaginé tout ces édifices avec des toits cultivés ainsi que leur façades et ces coins de villes interdits aux autos et transformés en verdureÉconomiquement c'est tout à fait viable et rentable. Humainement, l'apport de cette richesse est incommensurable en bienfait. On a qu'a réfléchir sur la possibilité de nourrir nos gens a moindre coût avec des produits de qualités. À quand les piscicultures à Montréal ? la demande et l'offre y sont pourtant, pour des produit frais et de qualité qui servirait tant la communauté que l'économie. 

À mon humble avis, il faut un courage des citoyens, mais aussi un courage politique de nos ''élues'' et des créateurs divers. Il est urgent que les choses changent, tant à l'échelon personnel, que nos structures de gouvernances et que l'humain et la vie soit au coeur, au centre de tout ces changements et décisions a prendre.  

Stéphane Marceau, humanitaire